Est-ce la faute des hormones si je fais des insomnies ?

Vous dormiez bien et soudain, vos nuits deviennent plus agitées, plus courtes, ou interrompues.
L’une des premières questions que l’on se pose est souvent :
👉 “Et si c’était hormonal ?”

Oui, les hormones peuvent jouer un rôle. Mais elles ne sont jamais seules responsables.
Voyons ça de plus près.

1/ Les hormones régulent notre sommeil… et peuvent aussi le perturber

Le sommeil est orchestré par plusieurs hormones qui s’activent ou se calment selon l’heure de la journée.
Un déséquilibre, une chute ou un pic inhabituel peut dérégler ce cycle naturel.

Les principales hormones du sommeil :

  • Mélatonine : dite "hormone du sommeil", elle prépare le corps à l’endormissement.

  • Cortisol : l’hormone du stress, censée baisser le soir. Si elle reste élevée, elle empêche l’apaisement.

  • Progestérone / Œstrogènes : chez les femmes, leurs fluctuations influencent la température corporelle, l’anxiété, le sommeil profond.

  • Testostérone : chez les hommes (et aussi chez les femmes), une baisse peut affecter la récupération et l’énergie.

  • Hormone de croissance : libérée pendant le sommeil profond, essentielle pour la régénération.

💡 Un bon sommeil est souvent un signe d'équilibre hormonal… et l’inverse aussi.

2/ Les femmes, particulièrement sensibles aux variations hormonales

  • Cycle menstruel : des troubles du sommeil peuvent survenir avant les règles (syndrome prémenstruel), ou juste après l’ovulation.

  • Grossesse : inconforts physiques + bouleversement hormonal = nuits fragmentées.

  • Périménopause / ménopause : sueurs nocturnes, réveils fréquents, anxiété, insomnies plus marquées.

⏳ Même si ces troubles sont naturels, ils ne doivent pas être banalisés : il est possible d’agir dessus.

3/ Les hommes aussi peuvent être concernés

On parle moins souvent du lien entre hormones et sommeil chez les hommes, et pourtant…

  • Une baisse progressive de la testostérone peut provoquer une fatigue chronique, un sommeil moins profond, une irritabilité au réveil.

  • Le stress chronique (trop de cortisol) est également un perturbateur majeur, surtout non détecté.

💬 “Je dors, mais je ne me sens pas reposé.” ➜ c’est parfois un signe d’épuisement hormonal latent.

4/ Les adolescents en plein bouleversement

Chez les ados, la puberté transforme leur rythme biologique :

  • Endormissement naturellement plus tardif (retard de phase)

  • Besoin de sommeil accru

  • Et paradoxalement… horaires scolaires très matinaux

🎓 Résultat : un décalage entre leur rythme naturel et les exigences de la société, qui peut générer irritabilité, tensions familiales, troubles de concentration et épuisement.

Ce que vous pouvez retenir

Oui, les hormones influencent le sommeil.
Mais elles ne sont qu’un des éléments d’un ensemble plus vaste.

👉 Mon rôle, c’est d’observer avec vous l’ensemble des causes possibles (rythmes, stress, émotions, habitudes de vie, environnement…) pour agir sur ce qui peut l’être.

✅ Une approche globale, naturelle et adaptée à votre réalité, quel que soit votre âge ou votre situation.

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Je vous accompagne avec méthode et bienveillance pour comprendre ce qui vous empêche de dormir, et retrouver des nuits plus sereines.

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